Bienvenue à notre tronc française! Nous sommes trois étudiants qui ont décidé de se lancer dans ce voyage passionnant à travers la langue française, et de partager nos connaissances avec vous tous. Non seulement cela, mais la culture de ce beau pays: sa musique, son art, ses habitants. Voulez-vous rejoindre? Si c'est le cas, bon voyage!
miércoles, 13 de junio de 2012
jueves, 7 de junio de 2012
miércoles, 6 de junio de 2012
MOIS ET SAISONS
C'est le printemps! Il fait doux
C'est l'été! Il fait chaud
C'est l'autonme! Il fait frais
C'est l'hiver! Il fait froid
martes, 5 de junio de 2012
La chanson du jour: QUELQU'UN M'A DIT- CARLA BRUNI
Elles passent en un instant comme fanent les roses.
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
que de nos chagrins il s'en fait des manteaux pourtant quelqu'un m'a dit...
Refrain
Que tu m'aimais encore,
C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore.
Serais ce possible alors ?
On me dit que le destin se moque bien de nous
Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
Parais qu'le bonheur est à portée de main,
Alors on tend la main et on se retrouve fou
Pourtant quelqu'un m'a dit ...
Refrain
Mais qui est ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais?
Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit,
J'entend encore la voix, mais je ne vois plus les traits
"Il vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit"
Tu vois quelqu'un m'a dit...
Que tu m'aimais encore, me l'a t'on vraiment dit...
Que tu m'aimais encore, serais ce possible alors ?
On me dit que nos vies ne valent pas grand chose,
Elles passent en un instant comme fanent les roses
On me dit que le temps qui glisse est un salaud
Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux,
Pourtant quelqu'un m'a dit que...
LE VERBE RESTER AU PRÉSENT
Je reste
Tu restes
Il/Elle/On reste
Nous restons
Vous restez
Ils/ Elle restent
LE VERBE VOYAGER AU PRÉSENT
LA MARSEILLAISE
LA MARSEILLAISE
I
Allons enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé.
Contre nous de la tyranie,
L'étendard sanglant est levé (bis)
Entendez vous dans les campagnes
mugir ces féroces soldats
Ils viennent jusque dans vos bras,
égorger vos fils, vos compagnes
Aux armes citoyens!
Formez vos bataillons!
Marchons, marchons,
qu'un sang impur abreuve nos sillons.
II
Que veut cette horde d'esclaves
De traîtres, de Roi conjurés?
Pour qui ces ignobles entraves,
Ces fers dès longtemps préparés? (bis)
Français! pour nous, ah! quel outrage!
Quels transports il doit exciter!
C'est nous qu'on ose méditer
De rendre à l'antique esclavage!
III
Quoi! des cohortes étrangères
Feraient la loi dans nos foyers!
Quoi! ces phalanges mercenaires
Terrasseraient nos fiers guerriers! (bis)
Grans Dieu! par des mains enchaînées
Nos fronts sous le joug se ploieraient
De vils despotes deviendraient
Les maîtres de nos destinées!
IV
Tremblez, tyrans! et vous, perfides,
L'opprobe de tous les partis,
Tremblez! vos projets parricides
Vont enfin recevoir leur prix (bis)
Tout est soldat pour vous combattre,
S'ils tombent, nos jeunes héros,
La terre en produit de nouveaux
Contre vous tout prêts à se battre.
V
Français! en guerriers magnanimes
Portez ou retenez vos coups.
Epargnez ces tristes victimes
A regret s'armant contre nous. (bis)
Mais le despote sanguinaire,
Mais les complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui sans pitié
Déchirent le sein de leus mère.
VI
Nous entrerons dans la carrière,
Quand nos aînés n'y seront plus
Nous y trouverons leur poussière
Et les traces de leurs vertus. (bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil,
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
VII
Amour Sacré de la Patrie
Conduis, soutiens nos bras vengeurs!
Liberté, Liberté chérie!
Combats avec tes défenseurs! (bis)
Sous nos drapeaux, que la victoire
Accoure à tes mâles accents!
Que tes ennemis expirant
Voient ton triomphe et notre gloire.
domingo, 3 de junio de 2012
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