lunes, 28 de mayo de 2012

LE VERBE DEMANDER AU PRÉSENT

Je demande
Tu demandes
Il/ Elle/ On demande
Vous demandons
Vous demandez
Ils/ Elles demandent

LE VERBE SAVOIR AU PRÉSENT

Je sais
Tu sais
Il/ Elle/ On sait
Nous savons
Vous savez
Ils/ Elles savent

La chanson du jour: CE QUE JE SUIS- HOLDEN


J'ai, j'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De faillir, défaillir,
Jusqu'à mesurer le prix
Mais qu'est c'qui m'arrive.

Je ris aux larmes, je larme aux ris
Mais, qu'est c'qui m'arrive.

Je dors au bord de mon lit
Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop

Oh oh oh comme je déteste
Je ne suis pas ce que je suis
La lune qui me surveille
La lune est dans mon dos

J'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De railler, dérailler
Epuiser toute mes envies
Mais qu'est c'qui m'arrive

J'oublie, je bois, je bois l'oubli
Mais qu'est c'qui m'arrive.

Je dors au bord de mon lit
Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.

J'ai, j'ai bien le droit
J'ai bien le droit, aussi
De conduire, d'éconduire
Les hommes, au bout de la nuit

Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.

Oh oh oh comme je déteste
Je ne suis pas ce que je suis
La lune qui me surveille
La lune est dans mon dos.

Oh oh oh comme je regrette
Je ne suis pas ce que je suis
Les murs ont des oreilles
Les murs me parlent trop.



LE VERBE REGARDER AU PRÉSENT

Je regarde
Tu regardes
Il/ Elle/ On regarde
Nous regardons
Vous regardez
Ils/ Elles regardent

LE VERBE CONNAITRE AU PRÉSENT

Je connais
Tu connais
Il/ Elle / On connaît
Nous connaissons
Vous connaissez
Ils/ Elles connaissent

L' ALPHABET (2)


MON NUMÉRO DE PORTABLE EST...

(0414) 310 69 09
Zéro quatre quatorze, trois cent dix, soixante neuf, zéro neuf.

(0416) 729 24 38
Zéro quatre seize, sept cent vingt neuf, vingt quatre, trente huit.

(0424) 240 79 11
Zéro quatre vingt quatre, deux cent quarante, soixante dix neuf, onze.

(0416) 800 69 67
Zéro quatre seize, huit cent, soixante neuf, soixante sept.

(0424) 128 12 56
Zéro quatre vingt quatre, cent vingt huit, douze, cinquante six.

JE SUIS Mlle. LOVERA






"Je suis Denisse Lovera. J'ai dix huit ans. J'habite à Caracas. Mon numéro est le zéro quatre vingt quiatre, cent vingt huit, douze, cinquante six. Je suis mince. J'ai les cheveux marrons. Je suis sympathique et gentille. Je suis petite. J'aime ma mère, la musique classique, l' Irlande, et la lune"

LE VERBE ENTENDRE AU PRÉSENT

J'entends
Tu entends
Il/ Elle/ On entend
Nous entendons
Vous entendez
Ils/ Elles entendent

LE PERSONNAGE: CLAUDE MONET

Claude Oscar Monet nait le 14 novembre 1840 à Paris. Il est le fils aîné d'un épicier. A 5 ans ses parents s'installent au Havre, c'est là qu'il fera ses études et qu'il étudiera le dessin avec un disciple de David : F. J. Ochard, de 1856 à 1858.

Il est d'abord passionné par la caricature, puis, sous la direction du paysagiste Eugène Boudin - son premier vrai maître - il apprend à aimer la peinture en plein air. C'est en 1859 qu'il descend à Paris, seul, où il vivra grâce à la vente de ses caricatures, qui lui procurent une certaine renommée.

Il passe de nombreuses journées au Salon, où il admire Daubigny et Troyen. Mais, s'opposant à l'avis général, il décide de ne pas suivre les cours de l'Académie, et d'étudier seul en fréquentant l'Académie Suisse où il rencontre Pissaro.

Il est appelé sous les drapeaux à l'automne 1860 et part en Algérie avec les chasseurs d'Afrique ; anémique, il retourne au Havre au début 1862 pour se soigner. Sa famille accepte de payer la taxe qui le libère du service militaire uniquement contre sa promesse d'entrer, enfin, dans l'atelier d'un peintre " sérieux ". Sa convalescence havraise est une période particulièrement heureuse. Le jeune artiste sillonne la campagne et le bord de la mer, chevalet sous le bras, pour peindre les paysages de Normandie en compagnie d'Eugène Boudin. En automne, il entre dans l'atelier de Gleyre à Paris, où il fait la connaissance de Bazille, Renoir et Sisley avec lesquels il se lie d'une amitié qui durera toute sa vie.

En 1863, une exposition lui fait découvrir la peinture de Manet, puis en 1864, celle de Courbet.
Au cours de ces années, il se dispute avec sa famille qui n'approuve pas sa carrière d'artiste rebelle. Elle lui refuse toute aide matérielle. Ce sont ses amis peintres (comme son ami Bazille) qui l'aideront.

C'est seulement après le succès honorable, obtenu au Salon de 1866 avec son portrait en pied de Camille Doncieux (qui lui valu une critique enthousiaste de Zola) que ses parents décidèrent à nouveau de l'aider.
Mais pas pour longtemps, car ils apprendront l'année suivante qu'il vit avec Camille. Ils l'obligent à l'abandonner à Paris, où elle donnera naissance à un garçon prénommé Jean.

Il est toujours par monts et par vaux comme un vagabond zigzaguant entre Paris et la Normandie pour fuir les créanciers ou courir après l'aide vaguement promise d'un collectionneur. Mais cela ne l'empêche pas d'obtenir de très bons résultats dans son travail et d'épouser Camille en 1870.

C'est l'année de la guerre franco-prussienne qu'il décide de fuir et de se réfugier à Londres. Il peint des atmosphères brumeuses et y rencontre Durand-Ruel, un marchand pour lequel il commence à travailler. Après un séjour en Hollande, il retourne à Paris à la fin 1871 et loue une petite maison au bord de la Seine, à Argenteuil.
C'est avec Renoir, Sisley, Pisarro, Cezanne, Degas et Berthe Morisset, ses amis, qu'il organise la première exposition du groupe. Le titre d'un de ses tableaux -"Impression, soleil levant" ; - inspire au critique L. Leroy le terme ironique " d'impressionniste " : il n'y a personne, ou presque, en cette année 1874, pour croire au sérieux de ces jeunes peintres qui font scandale chez le photographe Nadar. La plupart n'y voient que des bouffonneries ridicules et absurdes. Toutefois certains critiques trouvent le courage de hausser le ton pour les soutenir.

Au début de 1878, Monet quitte Argenteuil et se transfère à Vertheuil dans la maison de son mécène Hoschédé. Camille est faible et malade depuis la naissance de leur deuxième fils, Michel. Elle meurt en septembre 1879. Monet confie ses enfants à madame Hoschédé et continue à chasser les impressions (Poissy, Varengeville, Dieppe, Étretat, avant de s'établir à Giverny).

Ses expositions aux galeries Durand-Ruel et Petit ont été un succès : critiques favorables et bonnes ventes. Il s'achète enfin la maison de Giverny en 1890. M. Hoschédé meurt en 1891 et l'année suivante, Monet épouse sa veuve.

Ses voyages sont de moins en moins nombreux : Normandie, Norvège (en 1895), Londres (1899, 1900, 1901 et 1904), Madrid (pour voir les Vélasquez en 1904) et Venise (1908, 1909).Peu lui importe d'être considéré comme le plus grand artiste français vivant. Malgré la gloire qu'il a difficilement acquise et payée si cher, il a toujours l'impression de ne pas atteindre la perfection. Il est hanté par le besoin de transmettre exactement ses perceptions des choses. C'est avec ce même élan, en rien affecté par ses yeux malades, que Monet peint ses dernières toiles jusqu'à ce que la mort le frappe dans sa maison de Giverny, le 5 décembre 1926. 



SE PRÉSENTER


LE VERBE PRENDRE AU PRÉSENT

Je prends
Tu prends
Il / Elle/ On prend
Nous prenons
Vous prenez
Ils/ Elles prennent

LE VERBE SAVOIR AU PRÉSENT

Je sais
Tu sais
Il / Elle/ On sait
Nous savons
Vous savez
Ils/ Elles savent

LE VERBE PARLER AU PRÉSENT

Je parle
Tu parles
Il/ Elle/ On parle
Nous parlons
Vous parlez
Ils/ Elles parlent

domingo, 20 de mayo de 2012

LE VERBE MANGER AU PRÉSENT

Je mange
Tu manges
Il / Elle / On mange
Nous mangeons
Vous mangez
Ils/ Elles mangent

LES NOMBRES ET LES CHIFFRES




0zéro10dix20vingt
1un11onze21vingt et un
2deux12douze22vingt-deux
3trois13treize23vingt-trois
4quatre14quatorze24vingt-quatre
5cinq15quinze
25
vingt-cinq
6six16seize26vingt-six
7sept17dix-sept27vingt-sept
8huit18dix-huit28vingt-huit
9neuf19dix-neuf29vingt-neuf

30trente31trente et un32trente-deux
40quarante41quarante et un42quarante-deux
50cinquante51cinquante et un52cinquante-deux
60soixante61soixante et un62soixante-deux
70soixante-dix71soixante et onze72soixante-douze
80quatre-vingts80quatre-vingt-un82quatre-vingt-deux
90quatre-vingt-dix90quatre-vingt-onze92quatre-vingt-douze

100cent101cent un102cent deux
200deux cents201deux cent un202deux cent deux
300trois cents301trois cent un302trois cent deux
400quatre cents401quatre cent un402quatre cent deux

1000 mille
10 000 dix mille
100 000 cent mille
1 000 000 un million
1 000 000 000 un milliard

La chanson du jour: JEUNE ET CON- DAMIEN SAEZ


Encore un jour se lève sur la planète France
Et je sors doucement de mes rêves je rentre dans la danse
Comme toujours il est huit heures du soir j'ai dormi tout lejour
Je me suis encore couché trop tard je me suis rendu sourd
Encore

Encore une soirée où la jeunesse France
Encore elle va bien s'amuser puisqu'ici rien n'a de sens
Alors on va danser faire semblant d'être heureux
Pour aller gentiment se coucher mais demain rien n'ira mieux

Puisqu'on est jeune et con
Puisqu'ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crèvent sous les ponts
Mais ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous

Encore un jour se lève sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves je connais trop ladanse
Comme toujours il est huit heures du soir j'ai dormi tout lejour
Mais je sais qu'on est quelques milliards à chercher l'amour
Encore

Encore une soirée où la jeunesse France
Encore elle va bien s'amuser dans cet état d'urgence
Alors elle va danser faire semblant d'exister
Qui sait si l'on ferme les yeux on vivra vieux

Puisqu'on est jeune et con
Puisqu'ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crèvent sous les ponts
Mais ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous nous aimerons
Comme des fous

Encore un jour se lève sur la planète France
Où j'ai depuis longtemps perdu mes rêves je connais trop ladanse
Comme toujours il est huit heures du soir j'ai dormi tout lejour
Mais je sais qu'on est quelques milliards à chercher l'amour



LE VERBE OUVRIR AU PRÉSENT

J'ouvre
Tu ouvres
Il/ Elle / On ouvre
Nous ouvrons
Vous ouvrez
Ils/ Elles ouvrent

Le Personnage: FRANÇOIS HOLLANDE

François Hollande raconte son parcours :

J’ai été investi le 22 octobre dernier comme candidat du Parti socialiste et des Radicaux de gauche pour l’élection présidentielle de 2012.

Je souhaite partager avec vous quelques moments forts du parcours qui ont fait de moi ce que je suis. Je suis né à Rouen en 1954 et lorsqu’à 10 ans j’ai découvert la politique par la télévision, il n’y avait encore qu’une seule chaîne. A cette époque, les Français s’interrompaient pour regarder le général De Gaulle, dont les gestes menaçaient à chaque instant de sortir du cadre, et découvraient un jeune parlementaire au talent prometteur, François Mitterrand.

Mon père était médecin et ma mère assistante sociale. D’eux, j’ai appris l’attention que l’on doit porter aux autres.

A l’Institut d’études politiques de Paris, j’ai découvert la passion de l’engagement militant dans le syndicalisme étudiant. Jeune homme de gauche, j’avais envie d’être utile au camp que j’identifiais comme celui de la justice, du progrès, de l’innovation et de la liberté. Je nourrissais l’ambition à travers mes études - d’abord économiques à HEC, puis à l’ENA – de mettre mes compétences au service d’une gauche tenue à l’écart du pouvoir depuis 1958. A l"ENA, je milite pour une réforme démocratique de cette institution.

C’est tout naturellement que j’ai rejoint le parti socialiste en 1979. Repéré par Jacques Attali, je rédigeais des notes économiques pour celui qui allait devenir, deux ans plus tard, le premier président socialiste sous la Vème République. Le service de l’Etat, de la République, la lutte contre les injustices n’ont jamais cessé de rythmer mon existence.

De 1981, je conserve deux souvenirs : celui d’une magnifique victoire, celle du 10 mai, et celle d’une défaite, la mienne, aux législatives qui ont suivi, à Ussel en Corrèze, face à Jacques Chirac. Commence alors ce long combat face à l'ancien Président de la République. Sans doute n’imagine-t-il pas que non seulement je ferai basculer son département à gauche, que j’y ferai ma terre d’élection, le lieu de ma légitimité, mais qu’en plus je deviendrai son premier opposant à partir de 2002 comme Premier secrétaire du Parti socialiste. En Corrèze, dans cette région rude et généreuse la confiance se mérite. Il y a toujours à apprendre d’une apostrophe sur le marché de Tulle. Comment agir, animer, conduire un pays dont on ne reconnaîtrait pas la diversité ? Comment être le président des Français sans les aimer, sans connaître leur histoire, sans entendre la respiration profonde du pays ?

J’ai rejoint l’Elysée en 1981, puis dirigé le cabinet de Max Gallo dans le gouvernement de Pierre Mauroy.

Je suis socialiste. Depuis toujours. Je n’ai jamais aimé les batailles de courants et n’en ai jamais constitué moi-même. On me décrit comme un inlassable chercheur de synthèses. Je ne m’en défends pas.

Aujourd’hui, le mot est connoté, on lui préfère celui d'unanimité. L’essentiel, c’est que le sens demeure. Les socialistes ne sont forts que s’ils sont unis, la gauche n’est victorieuse que si elle accepte de prendre la meilleure part de chacune de ses composantes.

C’est cette règle que je me suis appliquée lorsque je suis devenu Premier secrétaire en 1997. Durant ces onze années à la tête de mon parti, quels qu’eurent été les enjeux, dans la victoire comme dans la difficulté, je ne me suis jamais laissé détourner de mon devoir. La ténacité, l’abnégation, la volonté, sont autant de vertus que j’ai développées durant cette mission. J’ai été associé par Lionel Jospin à toutes les décisions de la gauche plurielle. Chaque semaine, nous nous sommes rencontrés pour les grands arbitrages. Nous avons ouvert de nouveaux droits, fait reculer le chômage, consolidé la croissance. Tout n'a pas été parfait, nous n’avons pas toujours su nous faire comprendre. La défaite du 21 avril 2002 a été cruelle.

Il a ensuite fallu reconstruire. Tenir la barre. Je m’y suis attelé avec mes amis. Au moment où tous les regards se tournaient vers la « troisième voie » de Tony Blair ou Gerhard Schröder, j’ai défendu l’originalité des socialistes français. Lorsque la tentation du repli protestataire gagnait les esprits, j’ai maintenu le cap. J’aime à penser que c’est grâce à ce travail qu’en 2004, la gauche a remporté 20 des 22 régions de métropole et la Guadeloupe ; grâce à cette rénovation qu’une majorité de départements a, la même année, basculé dans le camp de la gauche ; grâce à notre remobilisation que le PS a connu son meilleur score lors d’élections européennes. Et lorsque le PS s’est déchiré en 2005, j’ai maintenu l’unité sans laquelle toute espérance d’une victoire en 2007 se serait définitivement évanouie.

Ségolène Royal a été désignée pour nous représenter. J’ai accompagné sa campagne comme Premier secrétaire.

En 2008 nous avons gagné les élections municipales. Le parti socialiste s’est ensuite déchiré au congrès de Reims... Puis est venu le temps de la réconciliation.

Pour ma part, après avoir si souvent porté la parole collective, j’ai voulu faire entendre une parole singulière. J’ai travaillé, rencontré, écouté.

Le défi qu'a représenté ma candidature à l'élection présidentielle, le plus important de toute ma vie, je l'ai relèvé avec vous, avec les forces que j’ai développées durant ces années. Je l'ai relèvé avec les valeurs, les croyances, celles qui, dans le for de ma conscience ont guidé mon chemin et m’ont conduit à défendre nos valeurs lors de l’élection présidentielle..

Les Français, en ce 6 mai, viennent de choisir le changement en me portant à la présidence de la République. Je mesure l’honneur qui m’est fait et la tâche qui m’attend.

Désormais, je suis au service de la France. Je suis mobilisé dès à présent pour réussir le changement. Telle est ma mission, tel est mon devoir : servir ! Servir la République, servir la France, servir au-delà de nous-mêmes, servir les causes, les valeurs que dans cette élection j’ai portées et qui auront à être entendues ici en France et partout, en Europe et dans le monde.

François Hollande

LE VERBE VENIR AU PRÉSENT

Je viens
Tu viens
Il/Elle/ On vient
Nous venons
Vous venez
Ils/ Elles viennent

SIGLES


ABP: Agence Belgique Presse
ACF: Action Contre la Faim
AEP: Agence Europe Presse
AFP: Agence France Presse
AIEA: Agence internationale pou l'énergie atomique
AUF: Agence universitaire de la Francophonie
BCE: Banque centrale européenne
BEI: Banque européenne d'investissement 
CICR: Comité international de la Croix- Rouge
CJCE: Cour de justice des Communautés européennes
DGCID: Direction générale de la coopération internationale el du développement
FAO: Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture
HCR: Haut commissariat aux réfugiés
JOCE: Journal officiel des Communautés européennes
MAE: Ministère des Affaires étrangères
OCDE: Organisation pour le commerce et le développement économique
OIF: Organisation Internationale de la Francophonie
OIT: Organisation Internationale du Travail
OMC: Organisation Mondiale du Commerce
OMS: Organisation Mondiale de la Santé
ONG: Organisation non gouvernementale
ONU: Organisation des Nations Unies
ONUDI: Organisation des Nations Unies pour le développement industriel
OSCE: Organisation pour la securité et la coopération en Europe
OTAN: Organisation du traité de l'Atlantique Nord
PAC: Politique agricole commune
PACS: Pacte civil de solidarité
PESC: Politique étrangère et de sécurité commune
UA: Union Africaine
UE: Union européenne
UNESCO: Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture
UNICEF: Fonds des Nations Unies pour l'enfance

LE VERBE FAIRE AU PRÉSENT

Je fais
Tu fais
Il/ Elle/ On fait
Nous faisons
Vous faites
Ils/ Elles font

LE VERBE VOULOIR AU PRÉSENT

Je veux
Tu veux
Il / Elle / On veut
Nous voulons
Vous voulez
Ils/ Elles veulent